Newton, en observant le Cosmos, et dans une optique purement scientifique, parvient à une conclusion qui est la suivante: « D. recrée le monde à chaque instant ».

(...) Newton, en observant le Cosmos, et dans une optique purement scientifique, parvient à une conclusion qui est la suivante: « D. recrée le monde à chaque instant ».



De nouveaux manuscrits dévoilent la vérité cachée par les proches de Newton après sa mort. Il pratiquait en secret les sept lois des Bné Noah. Il avait lu Maïmonide et le Talmud en hébreu et consacré une partie importante de ses recherches aux proportions du Beth Hamikdach.

Ce n'est qu'en 1936, soit plus de deux siècles après sa mort, lorsque la société anglaise Sotheby's décide de mettre en vente une grande partie des manuscrits, que la vérité va éclater.
Un des acheteurs de ces textes, est un des plus grands économistes de tous les temps; il s'agit de John Meynard Keynes, qui va se livrer à une étude complète de tous ces documents.
Voici le compte rendu de son travail: « Newton était un homme très religieux qui voyait dans son travail scientifique une mission visant à dévoiler la sagesse divine dans la création » écrit-il; et il poursuit: « nous avons même retrouvé dans certains documents des annotation en hébreu, qui renvoient à des passages du Michné Torah de Maïmonide;
Dans sa bibliothèque, on pouvait trouver des livres comme « le guide des égarés » ou le « Michné Thora » de Maïmonide, le commentaire de rav Abrabanel sur la Thora; Les notes de Newton, celles que ses proches ont voulu cacher, montrent une connaissance encyclopédique des écrits des rabbanim de toutes les époques.
Dans un de ces manuscrits, dans lequel il écrit des notes sur la guerre de Gog et Magog, la guerre qui permettra l'avènement du messie, il produit une preuve de son point de vue en s'appuyant sur une traduction araméenne de la meguilat Esther, sur des commentaires rabbi Saadya Gaon et de Even Ezra. A un autre endroit, il commente un point de vue du sefer hahinoukh, un livre qui décompte et explique les 613 mitswot de la Thora, et oppose ce point de vue à celui de Rachi, le commentateur de la Thora sur cette même mistwa. A un autre endroit, il cite le point de vue de rabénou Ovadia Mi barténora, sur les dimensions du beth hamikdach. Sur d'autres feuillets, on retrouve de longues notes, rédigées en hébreu, qu'il recopie des textes du Talmud.
On dispose même d'un manuscrit dans lequel il traite du partage de la Thora en petits textes que l'on nomme les paracha; non pas celles qu'on lit toutes les semaines, mais celles qui sont au nombre de 155 à 175 selon les avis, et qu'on appelle en hébreu les stoumotet les p'touhot. Il y rappelle un commentaire de nos sages sur la parachat Vayéhi, à la fin de Berechit.
De l'étude de ces documents, il ressort clairement que Newton avait décidé de pratiquer les sept lois de Noah, et ce afin d'être en accord avec le monothéisme juif. Il y écrit notamment que l'interdiction de manger des animaux vivants, qui est une de ces sept lois, ainsi que l'interdiction de manger du sang, qui n'en fait pas partie mais qu'il prend quand même sur lui, sont destinées à amener l'homme à un état idéal.
Pourquoi garde-t-il ce secret? La réponse est simple: 30 ans avant la naissance de Newton , on brûlait encore les gens qui osaient défier la chrétienté; de son vivant, la loi qui interdisait de contredire les dogmes chrétiens, et qui ne sera abrogée qu'en 1813, était encore en vigueur.
Et qui est le rav qui a eu le bonheur d'enseigner à un si illustre élève?
Il s'agit du rav Ytshak Abendana, qui fut autorisé à venir s'installer en Angleterre en 1662, et qui reçut un poste d'enseignant à Cambridge, là où étudiait un jeune homme, nommé Isaac Newton, alors âgé de 19 ans.
En sa compagnie, il étudiera le calendrier juif qui fascinait tant les astronomes de toutes les époques, les sept lois de Noah, et surtout les dimensions, la structure et les secrets du beth hamikdach, dans lesquels il voyait le dévoilement des secrets de toute la création.

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